Franck RIESTER, le ministre du Commerce extérieur et de l’Attractivité, s’est rendu sur le campus de l’ESCE, école du pôle Management d’INSEEC U., le 5 mars dernier.
L’occasion de visiter les locaux du groupe situés près de la Tour Eiffel et de rencontrer les équipes, avant de donner une conférence devant les étudiants de dernière année sur le thème de la relance par l’export.
La visite a débuté par le Career Center de l’école, point névralgique de l’employabilité des diplômés.
En échangeant avec des élèves et des alumni, le ministre a pu constater l’excellence et l’efficacité professionnelle de la formation dispensée aux étudiants. En particulier, elle leur permet d’effectuer des missions à l’étranger, notamment dans le cadre du VIE (volontariat international en entreprise).
Environ dix élèves de l’école effectuent chaque année un VIE à la fin de leurs études et 3 sur 5 sont employés ensuite par l’entreprise dans laquelle ils l’ont réalisé
Sylvie Vignes
Directrice du Career Center de l’ESCE.
Des propos que le ministre a approuvé : « Quand on a une formation internationale comme la vôtre, je suis convaincu qu’on a plus d’opportunités. ».
La suite des échanges s’est déroulée dans le grand amphithéâtre de l’école pour une conférence portant sur l’export, devant une trentaine d’élèves et des membres de BPI France, du Medef et de la Mairie de Paris.
Aux côtés de Franck Reister, étaient rassemblés des membres de l’équipe de direction du groupe INSEEC U. et de l’ESCE :
- Mathias Emmerich, Président exécutif INSEEC U.
- Sylvie Faucheux, Dean INSEEC U.
- Christophe Boisseau, Directeur de l’ESCE
- Caroline Bianchi, Directrice de la faculté ESCE
- Claude Obadia, Professeur International Business à l’ESCE
Le ministre a insisté sur l’importance de l’étude des langues étrangères : « Quand je demande à des chefs d’entreprise étrangers ce qui manque à la France pour être encore plus présente dans leurs pays, ils me répondent : la maîtrise de l’anglais. »
À ces propos, une étudiante de l’ESCE a réagi en apportant son témoignage : « J’ai appris le mandarin ici à l’ESCE. C’est ce qui m’a permis de travailler pour le marché asiatique : je travaille aujourd’hui pour China Telecom. ».
À l’ESCE, la majorité des cours se déroule en anglais et l’école propose en complément l’étude d’une vingtaine de langues. Un atout majeur qui la différencie d’autres business schools et permet d’attirer chaque année de nouveaux étudiants.
La journée s’est conclue par un temps d’échanges informels entre les élèves présents et le ministre, qui parraine la promotion 2020 de l’école.